Et si ton futur se cachait derrière une porte de chambre d’hôtel ?
C’est un peu la question que se sont posée 18 jeunes de l’académie d’Amiens lors d’une visite immersive au Novotel Le Touquet, entre thalasso, cuisine et chambres impeccables.
Première étape : la thalasso, version surprise !
Le ton est donné dès l’arrivée : visite de la thalassothérapie et de l’institut de bien-être. Ambiance zen, lumières douces… Et là, test d’un drôle d’engin : l’infraroll. Réaction spontanée d’un élève ? “Oh, c’est chelou… mais ça fait du bien !”
Plouf sans bruit : la piscine super insonorisée
Direction ensuite la piscine du Novotel. Surprenante particularité ? On ne l’entend pas du tout depuis l’accueil ! Insonorisation au top, preuve que confort client et calme sont vraiment des priorités.
Côté coulisses : à la découverte du restaurant
La visite continue dans les coulisses du restaurant et de la cuisine. Les élèves ont découvert les métiers du service, du bar, de la cuisine et même du petit-déjeuner.
Ce qu’ils ont retenu ? La salle a besoin de la cuisine, et inversement. Le travail en équipe est essentiel pour faire passer un bon moment aux clients. Tout le monde avance avec un objectif commun : la satisfaction du client !
Hôtel Ibis et Novotel du Touquet : immersion dans les chambres
La visite s’est terminée dans les chambres de l’Ibis et du Novotel. Au programme :
- 91 chambres pour l’Ibis
- 145 chambres pour le Novotel
Mais ce n’est pas tout : pour maintenir ce niveau de propreté impeccable, 25 à 30 femmes de ménage s’activent chaque jour. Un vrai travail d’équipe, de l’ombre mais ô combien essentiel !
Une ouverture vers de nouvelles possibilités
Cette matinée a été une véritable révélation pour certains élèves. Beaucoup n’imaginaient pas la diversité des métiers dans l’hôtellerie-restauration. Grâce à cette immersion, certains envisagent même déjà des stages, dans ce secteur passionnant.
Un grand merci au Novotel Le Touquet pour l’accueil et l’inspiration.
Et surtout, bravo à ces jeunes curieux, motivés et ouverts d’esprit. Parce que parfois, il suffit d’une visite pour découvrir sa vocation.